CELINE BIDON-LEMESLE - PSYCHOLOGUE CLINICIENNE, NEUROPSYCHOLOGUE, EMDR ENFANT ADO ADULTE, THERAPEUTE FAMILIALE, FORMATRICE - CABINET À PARIS
Il s’agit d’un livre qui traite de la question de la mort chez un jeune public. Tout en humour, il permet d’aborder cette question douloureuse sur un mode plus ludique mais très respectueux des êtres chers. Il traite d’une certaine façon de dépasser le chagrin face à la perte d’une personne que l’on a aimé si fort en continuant à penser à elle (permanence de l’objet), en la faisant vivre à travers ses souvenirs.
« Un petit garçon se réveille un matin et comprend que sa mère malade est morte dans la nuit. Il passe par divers sentiments, sa vie de tous les jours est bouleversée : il est en colère, n'arrive plus à dormir. Et puis comment s'occuper d'un papa qui pleure et qui ressemble à un gant de toilette tout mouillé ? Il s'énerve contre les choses du quotidien : son père ne saura jamais aussi bien faire les tartines le matin !
Ce livre, de même que sa collection (le livre des tout petits sur l’amitié, l’amour, les méchants), emporte tout mon engouement. La lecture magnifiquement poétique et philosophique traite des questions existentielles de façon magistrale sur le sujet de la mort et je l’utilise très régulièrement en thérapie enfant. Ce livre recueille 6 histoires tirées et ré-interprétes des contes universels.
« La maman de Hugo a un cancer, Hugo le sait. Il a peur, il est triste, il est en colère, il a honte, il a envie de pleurer, de tout casser Quelque fois, il croit même que tout est de sa faute. Ce livre est pour Hugo et tous les enfants dont le papa ou la maman, ou quelqu'un qu'ils aiment très fort, a une maladie grave.
Bien que le sujet de fond soit grave, ce livre plutôt naïf, ludique et espiègle tout à la fois, répond à de nombreuses et grandes questions que les enfants se posent… A travers la balade de trois enfants frère, sœur et ami, à l’âme poétique, à l’imagination bien fertile et aux idées bien arrêtées également, nos petits héros nous font rencontrer et comprendre trois dimensions psychologiques nécessaires à l’appréhension fine du concept abstrait
