Affirmer sa différence : paroles d’enfants !
Paroles d’enfants autour du thème : « Affirmer sa différence ! »
Publié le:
04/05/2020
CELINE BIDON-LEMESLE - PSYCHOLOGUE CLINICIENNE, NEUROPSYCHOLOGUE, EMDR ENFANT ADO ADULTE, THERAPEUTE FAMILIALE, FORMATRICE - CABINET À PARIS
Je vous remercie beaucoup pour votre site, car il n'est pas évitent de trouver des réponses concernant l’encoprésie.
je suis maman de 2 enfants (1 Garçon 3 ans et 1 fille 1 an) nous venons seulement de mettre 1 nom sur cette maladie pour mon petit garçon de 3 ans. plus d'un an ou les pédiatres, médecins généralistes nous disaient ça va passer c'est surement du à l'arriver de sa petite soeur (entre forlax, homéopathie, ostheo, psy...) mais après avoir fait des recherches sur internet je suis tombé sur le mot encoprésie, nous avons nous même pris rdv chez un gastro entérologue qui nous a confirmé l'encoprésie et donc il avait un fécalome formé dans l'intestin, il a été sous traitement pour le faire évacuer et ensuite sous forlax malheureusement mon petit garcon se retient toujours pour faire au toilette, du coup ou lui fait des lavements 1 fois par semaine avec l’école ce n'est pas facile.
je souhaiterais avoir votre avis car dans l'encoprésie il y a une part psychologique, nous avons eu un parcours long et difficile ou nous avons du avoir recours à l'insémination et également plusieurs fausses couches pour avoir enfin notre bebe(je suis très fusionnel avec) pensez vous que cela peu avoir 1 impact sur lui ? comment lui parler de sa ? a t -il senti une différence lors ma grossesse par sa soeur ?
cela c'est aussi beaucoup accentué en Aout quand j'ai du aller à l’hôpital avec sa soeur
Que me conseillez vous de faire ? merci par avance pour votre réponse
Valérie
Je suis maman d'un petit garçon de 4,5 ans qui, depuis un an et par phase fait caca et pipi dans sa culotte. Je suis séparée du papa depuis la naissance et il a été présent de manière chaotique mais plutôt régulière jusqu'à il y a un ans. Il a ensuite définitivement coupé les ponts et décidé de ne plus s'occuper de son fils. Je suis donc tout à fait consciente que son trouble est dû à l'absence de son papa. Il est suivi depuis peu par une super chouette pédopsy, son instite met beaucoup de choses en place pour pouvoir le sécuriser par rapport à sa blessure d'abandon, et je fais de mon mieux, toute seule, au quotidien pour le rassurer sur le fait que quoi qu'il arrive, je ne l'abandonnerais jamais, etc... Cependant, en ce qui concerne le problème du caca, j'ai énormément de mal à prendre sur moi et à rester zen quand cela arrive, à savoir tous les jours. Soit à l'école, soit à la maison. Je sais que ça le met mal quand je réagis avec colère, on en reparle chaque fois ensemble, mais je dois gérer tellement de choses, sa transgression permanente de quelque cadre que ce soit, entre autres, je suis moi-même en burn out, mais je ne parviens pas à dépasser ça. Je ne supporte pas nettoyer du caca tous les jours, c'est trop pour moi.
Je voudrais donc avoir plus d'infos rationnelles sur ce qui déclenche cela et notamment la relation d'agressivité que j'ai lue dans vos réponses pour m'aider à contextualiser et désacraliser le caca... Je sais que c'est étrange mais si rationnellement je peux comprendre les choses, cela m'aidera à les intégrer émotionnellement...
Merci belle soirée à vous
Je suis pere dune magnifique petite fille de 5 ans
Mon probleme est aussi l'encopresie
Je vous cache pas c'est devenue un cauchemar ds notre vie
Enfaite je pense que le problème de ma fille est due à ce qu'elle essay toyjours de retenir ses selles
Pour elle c'est de la perte du temps qui va lempeché de jouer ou bien n'importe ce qu'elle est entrain de faire
(À chaque fois elle se rappelle ou elle a salis sa culotte et qu'est ce qu'elle était entrain de faire==>donc lhipothese que c'est involontaire n'est pas vrai)
De ma part et sa mère nous avons tout essayé depuis la récompense lorsqu'on passe une journée saine jusqu'à la punition mais malheureusement rien ne marche
Le meilleur résultat c'est 1semaine voir 10jours et Après un chute libre qui peut atteindre 2 ou 3 fois par jours
Bien sûre on a aussi dépassé l'étape du pédiatre le gastrologue et le pedopsy qui ont confirmé qu'elle la rien d'organique
Elle est vraiment brillante et intelligente mais aussi trop tétu
Elle ai trop proche de moi et j'ai fais de mon mieux pour compenser l'attention que sa mère accorde à sa petite soeur arrivee depuis 4 mois déjà
Àvec un peu de recul je pense que se problème s'est accentué au début de grocesse de sa mère
Voilà
Est ce que c'est dû à la jalousie ?
Je ne sais pas même si ce resonnement est correcte
Je veux trouver une réponse mais surtout une solution
Et merci d'avance
Mon fils de 7ans a connu ce problème, ce n’est Pas tout à fait terminé mais en bonne voie.
Mon fils est devenu grand frère et c’est à ce moment là que ça a commencé
Le pédiatre nous a prescrit du Forlax mais le problème a été pire
Puis en lisant un témoignage sur ce site, j’ai compris que c’était un bloquage dans sa tête dû à la naissance de son frère. On en a beaucoup discuté et ça l’a libéré. On a arrêté le Forlax qui pour moi était une erreur et on est passé aux pro biotiques
Ça a pris quelques jours, le temps que son organisme revienne à la normale
C’Était un bloquage psychologique
Courage à tous les enfants et parents mais tout peu s’arraNager par la parole
Je vous remercie de ce message très prometteur qui va encourager beaucoup de familles à discuter avec bienveillance de ce sujet (souvent tabou et particulièrement irritant) avec leur enfant.
Je suis également ravie de voir que ce site communautaire porte bien ses fruits et qu’à travers les témoignages et les quelques propositions de réponses que j’ai pu y apportées certains enfants et leur famille ont réussi à résoudre leur difficulté.
Bravo ! Je ne peux que vous conseiller de poursuivre ainsi.
La parole et le travail psychologique avec un professionnel en tiers, si nécessaire, en sont effectivement la clef.
Bien à vous
Céline Lemesle Psychologue Clinicienne
Céline Lemesle, Psychologue
Je suis psychologue dans un ITEP. Nous accueillons un jeune de 12 ans qui souffre d'encoprésie et d'énurésie nocturne et diurne. C'est un enfant qui a été placé en famille d'accueil à l'âge de 3 mois avec sa demie-soeur. Rapidement, suite à des maltraitances dans la famille d'accueil, il a été placé dans une autre famille d'accueil, mais sans sa sœur. Cette famille d'accueil l'a "gardé" jusqu'à ses 7 ans, lui promettant une adoption. Mais le couple s'est séparé "à cause" de l'enfant, et il n'a donc pas été adopté… Il a connu une autre famille d'accueil qu'il a accusée (à raison ou à tort ?) de maltraitances, il a donc rapidement été placé en foyer. Aujourd'hui, les 2 institutions, foyer et ITEP, ne parviennent plus à se dépatouiller de ses "cacas" et "pipis". La règle des deux institutions, est qu'il doive laver ses habits et draps à la main en cas d'encoprésie, pour l'énurésie, il doit apporter ses affaires à la lingerie. Il tire des bénéfices secondaires à cette encoprésie diurne pour éviter d'être avec les autres enfants et pour attirer TOUTE l'attention des adultes et bénéficier d'un accompagnement duel. Toutefois, quand il peut bénéficier d'un séjour à l'extérieur (camps, sorties spéciales), et que cela devient la carotte, il peut ne pas y avoir d'accident jusqu'à la sortie/séjour, et durant le séjour et la sortie, et ce pendant 2 mois. Et puis cela repart… Il est difficile de parler de cet enfant en dehors de son encoprésie, car les professionnels, comme les enfants ne supportent plus les odeurs. L'encoprésie prend toute la place depuis déjà 3 ans, et les professionnels sont à bout. En institution, il est difficile d'ignorer le symptôme, de ne pas sanctionner, de ne pas utiliser la carotte,...ce qui semblent maintenir les enjeux relationnels autour de l'encoprésie. Alors si vous aviez des pistes pour enrayer cette modalité relationnelle, nous sommes preneurs ! Merci pour votre réponse. Stéphanie Sapin
Cette situation est très complexe en effet.
Bien que cela ne soit qu’une approche complémentaire et non absolue, je vois conseillerai de travailler au renforcement positif, telle la technique des petits pas pour réduire le symptôme dans un premier temps. Le programme Barkeley d’obédience TCC me parait interessante à investiguer pour cet enfant.
Bon courage
Celine
Céline Lemesle, Psychologue
Mon fils a 10 ans et a eu du mal a être propre en petite section l'école maternelle. Il se retenait, rentrait à la maison et demandait une couche pour se soulager. Ensuite c'est rentré dans l'ordre mais les accidents ont perduré. Actuellement je remarque que les accidents sont systématiquement liés à l'usage sur sa console portable (qu'il a depuis 2 ans). Il a une tendance à l'addiction et j'ai un mal fou à contrôler et limiter. Je dois la cacher ou la garder à mon travail, je voulais qu'il arrive à gérer mais c'est épuisant. Hier il a profité d'être avec ses mamies pour jouer plus que de raison (sans doute plus d'une heure), le résultat: pipi et caca au fond du slip, du coup j'ai déclaré qu'il n'y avait plus de console que je considère actuellement "la" responsable de ce trouble. Je ne le culpabilise pas, pas de catastrophisme et je lui demande de nettoyer ses slips. Par ailleurs il va chez le kiné pour un defficit d'attention avec dysgraphie, c'est un enfant à tendance précoce. Il souffre donc de phobies et troubles liés à son TDA. Je lui fais suivre la méthode Quertant 2 fois par semaine depuis 2 mois qui a permis de mettre fin à une toux "nerveuse". La personne qui le suit m'a mis en garde contre les jeux videos et les troubles nerveux que cela peut engendrer.
Je me suis donc inscrite sur le forum pour savoir si d'autres personnes constataient les mêmes symptômes sur leur enfant en lien avec l'usage des jeux videos car je ne trouve rien sur internet reliant l'encopresie et les jeux videos.
Les jeux videos génèrent chez certains enfants une addiction évidente. Les enfants TDA y sont beaucoup plus confrontés dans la mesure où les programmeurs ont bien compris que ce qui conduit le joueur à y revenir : s’organise à travers le sentiment d’obtenir régulièrement des récompenses durant le jeu.
Or, les enfants TDA traduisent des troubles au niveau du système de récompense cérébrale. Ils ne parviennent pas à anticiper ni à se représenter le temps qui passe, dans ce contexte les écrans et les jeux vidéo notamment leur sont particulièrement délétères.
Dans le contexte d’une Encopresie de surcroît, le corps (sensations corporelles) se clive progressivement au point que l’enfant ne ressente plus du tout les sensations au niveau de ses sphincters, l’odeur, et ils deviennent de plus en plus durs à la souffrance physique.
Laisser un enfant tda / précoce jouer aux toilettes ou jouer tout court sans limite temporelle et dans un contexte classique (sans que cela ne soit une récompense pour un effort fourni anterieurement, cf. Methode Barkeley) le place en effet dans une situation ludique, intemporelle qui alimente sa bulle psychique, son plaisir insatiable, calme/régule en effet ses anxiétés mais n’aura de cesse de faire perdurer dans le même temps ses troubles Encopresiques et attentionnels.
Bien à vous
Celine Lemesle
Céline Lemesle, Psychologue
Je suis ravi de lire que vous êtes toujours actives sur le groupe et je me permet de poster un commentaire en demande de conseil et d'orientation. J'ai déjà pu saisir pas mal de chose grâce aux nombreux commentaires et réponses apportées et vous remercie déjà pour votre aide et votre implication sur le groupe.
Ma fille de 7 ans salit régulièrement ses sous-vêtements. Cela a commencé par des traces peut-être il y a déjà 6 mois... cela doit correspondre avec l'adaptation au cp je dirais. Je ny ai pas trop prêter attention.. l'hygiène dans les écoles... il n'y a même pas d'eau pour se laver les fesses .. bref .. model occidental .. * je suis française... bon passons.
Depuis 2 mois cela s 'est intensifié et je trouve ma fille en train de cacher ses dessous plein de matière fécale au fond du panier à linge.. douteux.. puis je retrouve des culottes sali a profusion au moment de laver le linge. Je parle une première fois .. explique que non il ne faut pas se retenir ainsi... semaine d'après rebelote d un ton plus dur.. semaine d après.. lavage de slip etc etc je pense comme la plupart des parents . Récemment je me fâche fort pour tenter de cerner le problème. Je m'aperçois que ce symptôme est devenu .. indépendant de la volonté de ma fille .. qui m'avait pourtant avoué par le passé qui lui arrivait de ce retenir.. elle ne le contrôle pas .. elle me dit qu'elle na plus le temps de se retenir.. que sa sort.. et sur le reste du temps elle est plus ou moins constipée.
Autre problème récurrent.. ma fille est très souvent constiper . Je dirais qu elle tiens sa de moi .. genre colon paresseux... mais bon.. rien d'irreversible pour ma part après 25 ans en manque de fibres...Je conseille les quaker d'ailleurs.. sa fait des miracles.. oui donc.. grosse constipation il y a 1 mois et demi mais sérieuse.. genre on fonce aux urgences car ma fille fait un malaise et hurle de douleur au ventre en pleurant sans arrêter et en gémissant de douleure pendant 30 minutes..
Voila le point de ma question ... ou se situe le problème qui voir quoi faire
1. je comprend le problème psychologique .. et j'en suis la cause et la clefs. Oui je gronde ma fille je la contrôle je la brime et parfois je la gifle. Je travail dessus du mieux possible. Dans le sens où.. j'essaye de ne pas être impulsive... etc. Mais je vois bien sa colère quand je la gifle.. mais petite elle manifestait pas cela. Je ne sais pas pourquoi j'ai ce sentiment envers elle.. je suis beaucoup plus gentille avec la deuxième.. du style jeprouve plus de pitier pour la deuxième... même si mon amour pour ma première fille est sans limite et très très fort il a cette .. colère.. que je ne sais nommer le pourquoi .. en contrepartie je suis très proche d elle .. car c'est vraiment mon mini moi.. elle est vraiment mon clone . Les même bêtises. Les mêmes idées. Les même réflexions.. les même rires.. on est très proche je parle de la vie avec elle pendant des heures elle adore.. je lui explique le monde la société.. les industries .. les choses quoi..
2. Je comprend le côté fonctionnelle... histoire de maladie du côlon.. bref liée à l'alimentation je présume...
Mais je dois régler le problème.
Je pensais changer d'alimentation
Parler . Lui manifester plus d'attention mais cela sera til suffisant ??
Ma fille cadette qui aura 5 ans fin novembre se retient d aller à la selle.
Elle a commencé à le faire lorsque j étais enceinte de 7 mois de mon troisième enfant. Apres 2 mois de galère et la naissance de la petite tout est rentré dans l ordre. Depuis la semaine dernière rebelote. Elle se retient. Pourtant , j ai laissé la dernière chez nounou exprès durant les vacances pour profiter d eux et passer du temps exclusivement qu avec eux.
Avez vous des solutions pour l aider à y retourner svp sans appréhension , à reprendre confiance en elle ...
J ai réintroduit les laxatifs oraux
Je suis maman d'une petite fille de 4ans et demi, bientôt 5. Constipée depuis toute petite. Avec de violents maux de ventre quand elle était nourrisson. Au début je ne savais pas que c'était les selles qui bloquaient. Et en grandissant on s'est aperçu que c'était très compliqué pour elle de faire caca.
Avec des nuits à hurler comme si on la torturait. Plusieurs passages aux urgences dans ces cas là. Avec microlax, suppositoire etc, très invasif et très perturbant pour un parent de violer l'intimité de son petit : " pour son bien ".
J'ai étais obsédée par sa problématique jusqu'à découvrir le terme d'encopresie qui m'a soulagé et fait froid dans le dos dans un même temps.
Cette enfant a de grandes difficultés à accepter fruits légumes , s'hydrater... comme si elle refusait tout ce qui pouvait potentiellement l'aider. Donc une constipation très installée.
A force de faire des cacas énormes ( moyenne de 2 cacas par mois ) et de l'avoir forcé en voulant l'aider elle s'est completement figée avec une grande peur.
Elle refuse d'aller aux toilettes ou sur le pot disant qu'elle a peur " d ouvrir ses fesses au caca " ce que je comprends vu la taille énorme des selles...
Elle veut faire dans ses couches, se cache et ne veut ni qu'on l'a regarde ni qu'on la touche. Devient agressive si on l'approche.
Elle pousse sur ses petites jambes 5, 6, 7 , 10 fois par jour partant se cacher.
Une fois que la chose a enfin pu sortir c'est le soulagement et la vie est belle jusqu'au prochain caca.
Gros déni de moi et de son papa ... pensant que ce ne serait qu'une passade...sauf que ça fait des années que ça dure maintenant.
Il y a deux jours, urgences pédiatriques car elle a battue un record de retenue : plus d'un mois sans faire...
J'ai vécue une relation très éprouvante avec son papa de qui je suis séparée. Il a pu avoir des moments de grande colère contenue quand elle était petite, ne supportant pas ses pleurs et j'ai vécue dans la peur de ses réactions quasiment sans arrêt depuis que je suis enceinte.
J'ai mis beaucoup de temps à accepter l'échec de cette rencontre et le traumatisme qu'elle a engendré sur moi.
Je suis en thérapie depuis deux ans et j'ai retrouvé mon équilibre.
Que nous dit notre fille ? Papa maman je ne veux pas que vous soyez séparés. Papa maman je vous déteste. Papa j'ai peur de toi . Maman je ne me sens pas en sécurité ave toi si tu as peur toi aussi.... bref...
Mon ancien compagnon a de gros dossiers traumatiques dans son enfance (viol ) mais peut-être pas la force d'aller se mettre à nu pour regarder et faire le chemin. Notre fille a longtemps eu peur de lui. Aujourd'hui la relation de confiance est restaurée. Mais rien est résolu et nous voilà de nouveau réunit autour d'elle. La relation est bonne il y a toujours beaucoup d'amour.
Est-ce possible de faire une thérapie sans le papa ? Et si oui est-ce que les centres Cmpp peuvent proposer des thérapies systémiques ou des guidance parentale ? Mère enfant ?
Merci pour votre écoute et guidance
Oui les CMP sont gratuits et sectorisés en fonction de votre site géographique. Les puristes en systemie seront effectivement réticents à travailler sans le papa, mais parfois il vaut mieux un suivi dans un cadre moins idéal mais effectif. Expliquez votre situation, la chance sourit aux audacieux !
Bon courage
Celine Lemesle
Céline Lemesle, Psychologue
Vous avez cerné très habilement le sujet complexe que revêt votre situation. Il me parait tout à fait opportun de permettre à votre fils de vivre chez sa grand mere, tout en conservant un lien avec votre enfant.
Les enfants /ados ne peuvent pas se représenter la sexualité de leur parent en effet. Cette distance lui sera donc profitable.
Le cadre Thérapeutique devra à mon sens lui être proposé de façon individuelle, sans vous, afin qu’il puisse élaborer et s’entendre dire que même si cela parait dégoûtant c’est pourtant tout à fait normal d’avoir une sexualité pour sa mère, et vous n’avez pas cherché à lui faire partager cette intimité. Il aurait du frapper à la porte par ailleurs.
Ce therapeute lui dira également sans doute que la sexualité évolue avec le temps. Et votre ado fera lui aussi ses propres expériences personnelles.
C’est la question œdipienne qui est en jeu ici.
Pour l’heure, cessez de lui en parler. Les mots sont parfois plus dérangeants que rassurants et il ne doit plus avoir cette discussion avec vous.
Les parents ne sont pas parfaits, ne vous fustigez point trop. Cela n’y changera rien et malgré vos erreurs, votre fils a besoin de sa mère par ailleurs. N’oubliez pas cela.
Bonne soirée
Celine Lemesle
Céline Lemesle, Psychologue
Je viens de faire des recherches sur le problème que mon fils de 9 ans vit depuis plus d un an maintenant.
Et je ne sais pas s il a vraiment cette pathologie.
Je m explique : tout à commencé avec les jeux vidéo. Je pensais qu il ne voulait pas arrêter de jouer donc faisait caca dans sa culotte ou se retenait d ou des tâches dans son.caleçon. Ensuite même pendant d autres jeux.......
Qd je le gronde trouve toujours une raison.
Je lui fais laver ses caleçons, le réprimande. ..
Mais rien y fait.
Hier soir il s est même couché avec son slip plein de caca. Cela n a pas l air de le déranger. L odeur est très désagréable et je.je.comprends pas qu il fasse cela.
En lisant.tous les témoignages je me demande si mon fils souffre d encopresie ou pas ?
Je vous propose de lire mon article sur le sujet.
Mais à la description que vous en faites, cela semble en effet y ressembler (déni olfactif, centration sur ses activités ludiques sans passer aux toilettes, insensibilité aux réprimandes et bénéfices secondaires évidents à poursuivre ainsi).
La therapie individuelle enfant et guidance parentale seraient une indication pour vous à mon sens.
Bonne soirée
Céline Lemesle, Psychologue
Je vous conseille de mettre en place plutôt du renforcement positif pas à pas (aller sur les toilette, y rester, accepter de faire ses selles..)
Voici un chemin de récompense (tableau d’apprentissage de la propreté) qui valorisera votre enfant
pull-ups.com
Bonne soirée
Céline Lemesle, Psychologue
Du coup il se retient pendant plusieurs jours et se constipe on a du lui faire un lavement cela a été productif mais mon fils a été traumatisé depuis dès qu'il vois la pipette c'est crise de panique et hurlement.
Du coup maintenant il est sous importal pour que cela soit moins agressif et résultats il n'est plus constipé mais ne veut toujours pas faire ses besoins sauf qu'au bout d'un moment il n'arrive plus à se retenir et fais dans son caleçon.
Avec mon mari on est complètement désemparé, on ne sait plus quoi faire et surtout plus quoi dire, comme tous on a essayé explication, punition même de faire intervenir un des papy mais rien ni fait.
Je me pose aussi la question si l'élément déclencheur ne serai pas le faite que sa sucette lui ai été retiré il y a 2 mois sans qu'il soit vraiment pour. L'arrêt de la sucette c'est plutôt bien passé en 1 semaine il ne la réclamait plus. Faudrait il lui redonner ? Je ne sais plus quoi faire.
Merci pour votre aide
malgré que je l'accompagne avec des histoires avec ses doudou j'ai même coller ses dessin préferer au mur ....
mais ya rien
Mon fils à 14 ans et il est également atteint de cette maladie depuis qu'il est rentré à l'école. Nous sommes passé par le pédopsychologue pendant presque toutes sa scolarité, également un pédiatre qui n'a cessé de prescrire du Forlax à grosse dose. Nous avons dû lui faire plusieurs lavement à l’hôpital, le dernier en date était en début d'année.
Nous avons également vu un spécialiste qui nous a prescrit des lavement tous les jours pendant 1 semaine. Il y a des hauts et des bas. En dernier ressort nous sommes même aller vois, l'an dernier, une hypnotiseuse, comme tout ça a fonctionné pendant un temps.
Tout était rentré dans l'ordre pendant plusieurs mois et depuis le début des vacances rebelote.
Alors il les cache, et quand je les retrouves c'est par dizaines, il a même était jusqu'à remettre des slips mouillés parce qu'il avait caché tous les autres et pour ne pas se faire remonter les bretelles il a lavé un slip et l'a remis aussitôt.
Nous ne savons plus quoi faire, nous avons essayé l'écoute, la punition et même les menaces mais rien n'y fait.
Il va rentrer au lycée en septembre, il a déjà passé toute ta scolarité sans copains je ne veux pas que ça continue.
Vers qui ou quoi puis-je m'orienter ?
Merci beaucoup pour votre aide.
J'ai remarqué que quand je massais un peu son ventre pour la soulager, quelques minutes plus tard, il y avait des fuites.
Je me demande si c'est une bonne idée de provoquer ces fuites volontairement ? En fait, je me dit que, en la massant plusieurs fois dans la journée, ca permettrait d'évacuer un peu du trop plein et réduire la douleur au ventre qu'elle ressent. Qu'en penses-vous ?
Je m'interrogeai aussi sur la médecine chinoise pour traiter le cas.
Merci d'avance.
Alors moi, j'ai un garçon de 6 ans et demi. Depuis et jusqu'à présent il fait ses grosses commissions dans son slip. Pour faire pipi il y a pas de problème il va aux toilettes. Le matin avant de prendre sa douche pour partir à l'école je lui demande d'aller aux toilettes et il le fait très bien après vérification il a bien fait ses selles mais du coup je suis quand même obligé de lui mettre une couche pour la journée. Avec son papa, ont lui a parlé, expliqué et il nous a répondu qu'il ne sent pas quand ça arrive et quand ça sort. Alors je voudrais savoir si cest l'encoprésie ou un autre problème svp....
Il nous a dit aussi qu'il voulait pas grandir qu'il veut resté petit et je pensse que vue il va re prendre l ecole sa le travaille aussi et l arrivé du bébé du coup j ai peur qu'il se face caca déçu a l'école je c pas quoi faire.
Ma fille a souffert d'encopresie depuis sa diversification et maintenant, après 8 ans d'enfer et d'errance médicale, tout va bien.
Personne ne peut comprendre ce que c'est tant qu'on ne l'a pas vécu.
L'enfant souffre le martyr quand il va au toilette, on vit un 'accouchement' par semaine. Traumatisant, non ? Après on essaye de les convaincre d'aller aux toilettes pour leur bien et de revivre leur traumatisme encore et encore... Vous le feriez vous ? En plus, ils sont bloqués !
Sortir de la maison = s'éloigner des toilettes
=> vie de m....
Alors on a vu des psychologues (constipation = angoisse de séparation, relations fusionnelle, désir de contrôle de son corps ou le contraire, ...), des docteurs, on a eu des traitements sur du long terme (qui ne marchaient pas mais 'il faut continuer, jusque ce que ça aille mieux), changement de régime alimentaire, méthodes bienveillantes, méthodes authoritaires...
Au final, 1 rdv avec une gastro-enterologue pédiatre de 30 min = 1 ordonnance, 1 week-end à évacuer le fecalome et plus jamais de douleurs, traitement pdt quelque mois avec déscolarisation (pour éviter de se retenir)+ 4 séances de rééducation avec kine spécialisé dans le traitement de l'encopresie. Les problèmes psychologiques qui ''étaient la cause de l' encopresie'' ont disparu bizarrement (ben oui quand on a pas mal 24/24,7/7 on est plus détendu).
Je ne veux pas critiquer les psychothérapeutes mais juste éclairer sur l'absence de connaissances quand à l''aspect physiologique (et traumatique) de la pathologie.
Bon courage !
Merci pour votre témoignage. Si la résolution de ce trouble si difficile à vivre et à gérer pour tous peut se résoudre avec la prescription que vous évoquez, c’est formidable.
Travaillant avec les familles et les enfant sur ces sujets depuis des années, les histoires semblent se ressembler mais ne se résolvent malheureusement pas toutes de la même façon. Votre témoignage est précieux et j’espère que beaucoup de familles tenteront vos préconisations.
Dans ma pratique, et lorsque je vois les personnes, ces indications ont déjà fait l’objet d’essais. Donner une réponse unilatérale dans une optique de tout médical à partir de traitement et d’une rééducation sphinctérienne me semblent réductrice et ne reflète pas ma réalité clinique globale en tous cas, de la même façon que de lui donner une origine psychogène stricte n’est effectivement pas valide non plus, de mon point de vue.
Les expérimentations des parents sont très nombreuses et il me semble que parler de trouble psychosomatique est plus juste, impliquant les deux aspects, auxquels s’ajoutent l’histoire et la personnalité de l’enfant, ainsi que celles de sa famille.
Tant que l’enfant n’est pas prêt à lâcher, à se laisser rééduquer, à faire aux toilettes, à dépasser ses peurs, et à affronter pour certains leurs traumatismes (cela dépend des histoires de chacun), et pour la plupart à accepter de grandir, les blocages conditionnent la vie de la famille en effet.
Rester proche de vous, à la maison avec peu de contraintes et beaucoup de stabilité (rituels quotidiens) ont sans doute beaucoup aidé votre fille également, qui, plus âgée (en période de latence) a enfin réussi à dépasser ses peurs. Ce changement de rythme radical, dont vous parlez (école à la maison), semble avoir bien contribué à son évolution également. La vie va trop vite pour ces enfants souvent très anxieux voire hypersensibles, qui tentent aussi de ralentir ce rythme, « d’étirer le temps », mais probablement inconsciemment.
J’ai pour ma part, eu la chance de voir évoluer des enfants et ados et ce n’est pas une fatalité. C’est souvent très long. Je compare régulièrement ce trouble au négatif photo de l’anorexie. Nous savons aujourd’hui que l’anorexie trouve certaines sources sur le plan neurophysiologique, mais pour autant les impacts sur le corps et la vie du sujet nécessitent un suivi psychologique.
Selon moi, il en est de même pour l'encoprésie.
Je vous souhaite bon courage à tous.
Merci encore pour vos témoignages qui font évoluer les perceptions et la pratique professionnelle. Car en effet, il y a tellement à faire autour de cette question qui reste, encore à ce jour, trop souvent silencieuse.
Céline Lemesle, Psychologue
Je lis tous vos échanges, car le fils de mon mari, 10 ans, souffre d'encoprésie.
Je suis donc sa belle-mère, et je me demande si son trouble ne pourrait pas venir de sa relation avec moi ?
Il est très souvent chez nous, ou chez ses grands-parents. Sa mère, à qui mon mari a plusieurs fois parlé de ce problème, affirme qu'elle n'a rien remarqué chez elle. Je ne sais pas si effectivement ça ne se produit pas chez elle, et si c'est une forme de déni de sa part.
Est-ce possible que ce soit ma relation avec ce petit garçon qui cause son trouble ?
Merci de votre réponse, car pour l'instant en réalité je ne trouve réellement de répondant ni chez son père ni chez sa mère... et personne ne s'occupe de son problème.
Mon fils de 7ans et demi se fait caca dessus car il ne veut pas aller aux toilettes et pousser.
Pour lui c est une perte de temps que de pousser. Il préfère jouer, s inventer des histoires, .....
On lui a expliqué le rôle du caca. Quand il arrive à faire caca on le félicite.
Je ne sais plus trop comment réagir. Je lui fais du chantage sur un caca correspond à 30 minutes que maman donne pour jouer avec lui sur ce qu il a envie. Mais j ai l impression que son corps n' arrive même plus à faire descendre son caca. Que faire????
Merci beaucoup.
Mon fils de 7ans et demi se fait caca dessus car il ne veut pas aller aux toilettes et pousser.
Pour lui c est une perte de temps que de pousser. Il préfère jouer, s inventer des histoires, .....
On lui a expliqué le rôle du caca. Quand il arrive à faire caca on le félicite.
Je ne sais plus trop comment réagir. Je lui fais du chantage sur un caca correspond à 30 minutes que maman donne pour jouer avec lui sur ce qu il a envie. Mais j ai l impression que son corps n' arrive même plus à faire descendre son caca. Que faire????
Merci beaucoup.
mon fils a 6 ans est en cp, actuellement et depuis toujours il retient ces selles; au cout d'un moment il ne peut plus retenir et fait dans sa culotte. nous avons essayé toute les méthodes mais rien ne marche.
De plus il fait des grosses crises de nerfs pour des choses anodines..
A l’école cela se passe tres mal, la maitresse nous dit qu'il ne fait que parler, chalut, embêter les autres enfants. au debut de l'année elle était dans l'incapacité de nous dire si il savait faire quelque chose. notre entrevu 3 semaines plus tard : qu'il avait montrer ses capacitées. vendredi là, qu'elle en peu plus, qu'il la reprend sans arret. et de plus qu'il est hautin. a la maison c'est tres diffcile aussi, l’éducation est très difficile. il ne fait que chercher "la petitie bête" .Avec son père c'est très tendu.
il a été vu par une psychologue il y a quelque mois, mais il l'a menait par le bout du nez et rien n,a changé. je suis perdu. nous avons rendez vous avec une neuro psy bientot. merci pour votre réponse
Je suis la maman d'un petit garçon de 5 ans et 3 mois qui est atteint d'encoprésie. Dès la naissance je l'ai énormément materné car il pleurait dès que je le posais dans son berceau (endormi, cela le réveillait systématiquement). Je l'ai allaité à la demande jusqu'à presque 3 ans et aujourd'hui nous tentons de mettre un terme à l'allaitement occasionnel ce qui cause du chagrin à mon fils. Mon mari était assistant familial et lorsque mon fils a eu 15 mois, un enfant âgé de 11 ans qui était a été placé en accueil chez nous et n'a eu de cesse de porter atteinte à mon fils en tentant à longueur de journée de le faire tomber, lui faire mal, le soustraire à notre vigilance. Cette étape a été traumatisante pour nous et nous avons signalé ces actes graves à l'ASE, ainsi que notre impossibilité à assurer la sécurité de notre fils lorsque l'enfant en accueil était présent dans la même pièce, même si nous étions à côté. La situation a perduré pendant 7 mois jusqu'à ce que l'enfant en accueil (qui avait déjà sévi avant d'arriver chez nous) soit placé dans une autre famille. Je ne sais pas si cela a un lien avec l'encoprésie de mon fils car à cet âge-là il n'a pu manifester aucune réaction visible à notre niveau, mais je pense de toute façon, à cause de cela, avoir manqué une étape dans l'apprentissage de la propreté à mon enfant. J'étais de fait occupée à 100% à assurer sa sécurité ! Ensuite nous avons déménagé et je me suis trouvée en échec dans ma nouvelle situation professionnelle car je n'arrivais pas à fournir autant d'énergie pour nourrir mon fils à la demande et travailler en même temps. J'ai réduit l'allaitement à ce moment-là. J'ai fait un burn-out qui a duré deux ans. J'en suis sortie récemment. Bref, mon fils a commencé à être propre un an après le départ de l'enfant qui était dangereux pour lui (soit vers l'âge de 3 ans). Puis, plus rien. Nous avons consulté et le médecin a fait faire une prise de sang pour éloigner la piste de l'intolérance alimentaire. Il y a eu des hauts et des bas depuis, mais pas de phase de propreté réelle en journée. La nuit, énurésie perpétuelle. Les phases de confinement l'ont fait carrément régresser à chaque fois et nous devons toujours repartir de zéro. Il refuse de nous écouter lorsqu'on souhaite parler de cela avec lui. Au quotidien, c'est un enfant très intelligent et bavard, plein de vie et en parfaite santé. Il est aussi extrêmement tonique. Il a par contre beaucoup d'agressivité et se met en colère violemment dès qu'il n'obtient pas ce qu'il veut. Je n'ai jamais voulu le stigmatiser et le mot encoprésie prononcé par son pédiatre m'a d'abord heurtée. Mais il faut se rendre à la réalité. Aussi, j'ai toujours pensé qu'il avait énormément besoin d'attention et qu'il n'était simplement pas docile. Mais notre relation se dégrade à présent, car je n'arrive pas à trouver les ressources pour me montrer toujours patiente. Nous avons instauré depuis des mois un petit calendrier sur lequel nous notons "la météo" de la journée en fonction des réussites ou non concernant la propreté. J'ai nettoyé ses culottes pendant un an et demi mais récemment j'ai craqué (4 à 5 culottes souillées par jour) et nous avons remis des couches pour les jours sans école (à noter que les accidents à l'école sont très rares). J'ai demandé un rdv auprès d'un centre médico-psychologique pour enfants. J'attends leur réponse. Je suis épuisée. J'ai lu les témoignages et vos réponses qui me donnent beaucoup d'éclairage. J'ai toujours besoin de comprendre les choses et là c'est très frustrant car j'ai du mal à comprendre le mécanisme et à trouver la bonne place en tant que mère. Son papa, suite à mes nombreuses requêtes, commence à montrer un intérêt plus grand et à s'impliquer davantage avec lui au niveau communication. Merci par avance pour vos conseils.
Et mon fils souffre d’encompresie depuis maintenant 3ans. Je pensais que sa aller passer avec le temps, mais c le contraire, il est devenu agressive envers son père et moi, il me dit qu’il est pas heureux et qu’il aurai aimé de ne pas exister. Quand je l’entend me dire sa je sais pas quoi faire. Je suis perdu, quand je lui demande d’aller au toilette il me dit qu’il a pas envie, je suis obliger de lui imposer sinon il se retiens jusqu’à qu’il peut plus.il me di qu’il a peur des toilette qu’elle sont sale et qu’il y a des mouches qu’il le dérange, qu’il a peur du trou et quand il doit faire caca il met jamais c fesse sur la cuvette il préfère mettre c main avant.
Quand il fait des trace sur son sous-vêtement il le cache dans la maison. Il a déjà fait 2 accident à l’école, sinon cest plus souvent à la maison ou chez ses grand parent. Son papa et moi même travaillons. Je ressent une forme de culpabilité car au moment de l’apprentissage de la propreté je n’ai pas beaucoup été présente depuis l’ages de ces 1ans nous somme commerçant et il a été beaucoup garder et je pense que cest notre faute.
Pouvez vous m’aider car la pédiatre ma conseiller d’aller au cmpp mais c trop long et il rentre au collège dans 2 ans et je m’inquite pour lui.
Merci
Ca fait des années que ça dure, moi je me dis qu'il va bien finir pas faire caca aux toilettes un jour je ne lui met pas la pression mais en vous lisant je vois que le problème peut perdurer assez longtemps et être très handicapant pour sa vie en société. Le papa commence à être énervé de la situation et me met la pression pour que cela cesse. Mais comme beaucoup d'entre vous, j'ai essayé beaucoup de choses : promesse de récompense, livres sur le sujet (caca prout de C.Dolto), beaucoup beaucoup en parler très calmement, questionner sur les raisons de sa peur, aménagement de conditions agréables dans les toilettes, je lui ai même proposé hier de faire tout pareil mais juste en enlevant le couche et en le mettant sur le pot, exactement au même endroit, toujours avec l'pad mais quand je lui ai présenté cette nouvelle solution il s'est mis à pleurer en disant "je veux pas, je veux pas, je veux la couche" j'ai cédé car il revenait de 4 jours chez son père sans faire.
Il n'est pas propre de nuit pour le pipi non plus même si parfois la couche est sèche le matin mais c'est très rare.
C'est pourtant un petit garçon plein de vie, très rigolo et bien dans sa peau, je n'ai rien à dire de particulier sur son caractère à part qu'il n'est pas très téméraire en général, il ne veut pas faire de trottinette ni de vélo, ne joue pas à la bagarre même si il aime bien chahuter.
Je suis preneuse de tout conseils!
Je vous remercie de prendre le temps de lire et de répondre à toutes ces personnes et en lisant un petit peu tout ça cela m'a rassurée je me suis sentie un peu moins seule...
Mon fils a 11 ans il est Au collège Et pour moi ça devient de plus en plus difficile À supporter et a dû expliquer que c'était un risque que ses camarades se moquent de lui cela fait plusieurs années Et la d seul dans sa culotte que je retrouve cacher
Qu'ils dissimulent Où je sens une odeur De m'expliquer Ils se trouvent différents Excuse ou il a eu un gaz quand je découvre les culottes il a eu une diarrhée il a pas pu se retenir Cela dure depuis 3 voir 4ans Je suis passé dans toutes les phases l'explication la compréhension la colère je me sens impuissante pourtant c'est un enfant qui a été propre très vite... Il à un petit frère qui se moquent de lui qui a 9 ans Que je recadre bien évidemment mais ça ne lui donne pas le courage d'être plus propre Je me sent pas sif à Cette situation par contre il est capable de trouver toutes les manières pour dissimuler Ses culottes Cela m'épuise .. Et cela s'ajoute quand il va dormir chez des enquêtes détente et qu'il me signale que mon fils avait des odeurs qu'ils ont constaté qu'ils avaient fait dans sa culotte pour un garçon de 11 ans cela le met hors de moi...
Je suis une maman qui a élevé de petits garçons toute seule et j'ai un travail dans les soins très très prénom vous imaginez les horaires J effectue régulièrement ...
Qu'est-ce conseils pourriez-vous m'apporter car je se sont démunis impuissante et je ne sais plus quoi faire pour l'aider sans le mettre À rouspéter comme une Fury.
Je vous en remercie d'avance
Je m'occupe d'un autiste de 12 ans qui a des problèmes pour aller à la selle. Il fait des petits besoins, parfois dans les WC mais pas toujours, et s'essuie souvent avec les doigts ! Nous avons beau lui expliquer qu'il faut se servir du papier, il ne le fait pas bien qu'il comprenne, alors, bien entendu on change le slip, 4 à 5 fois par jour !
En plus lorsqu'il est sur les WC, il s'appuie sur ses 2 mains sur le siège, pour que ses fesses ne touchent pas le siège qui pourtant est continuellement nettoé !
Nous ne savons plus quoi faire, c'est épuisant et les centres aérés le refusent de même que l'école, pourtant spécialisée, s'inquiète!
Que pouvons nous faire, y a t -il une solution ,
Merci de votre réponse ce serait génial si vous aviez une solutions.
Je suis la maman d'un garçon de 8 ans. Il a commencé à se retenir et a avoir des accidents de selles il y a 4 ans et demi pendant ma grossesse.
Depuis 4 ans, il a eu des périodes de quelques mois ou cela allait mieux mais il rechute systématiquement. Il a déjà rencontré 3 psychologues mais nous nous sentons toujours aussi démunis. La dernière n'a pas souhaité le voir en individuel mais avec son père et moi car pour elle l'origine de son trouble résidait dans notre dynamique familiale. Nous avons beaucoup travaillé à améliorer les choses et avons décidé il y a 3 mois d'arrêter la thérapie dans la mesure ou elle travaillait très peu avec lui et que depuis quelques semaines il n'avait plus d'accident et de plutôt privilégier une thérapie de couple. Le lendemain de l'arrêt de la thérapie ses accidents ont repris. C'est un enfant très sociable et enthousiaste mais également très anxieux. Il a une angoisse de séparation très forte qui s'apaise un peu depuis cette année. Il est très difficile pour lui de se séparer des objets et même des emballages. Il veut tout garder. Il est très sensible et réagis souvent de façon disproportionnée aussi bien pour le positif que le négatif. C'est un enfant qui n'arrive pas du tout à se concentrer en classe mais qui est capable de se poser pour lire à la maison ou pour faire de longues constructions de lego. Il peut se concentrer une journée entière pour monter des lego avec notice. Il n'a pas de difficulté d'apprentissage mais sa difficulté à être attentif à l'école risque petit à petit de le limiter dans ses apprentissages. il est souvent dans sa bulle et n'écoute pas ce qu'on lui demande ce qui génère de l'agacement de la part de la maitresse des baby sitter et bien sûr de nous du coup les gens finissent par avoir à son encontre du rejet. Concernant ses accidents, à l'école il commence à y avoir des gens qui verbalisent le fait qu'il y a de mauvaises odeurs et de notre côté nous sommes inquiets à l'idée qu'il puisse également être rejeté par ses camarades pour ça. Nous alternons des phases ou nous sommes compréhensifs avec des phases ou nous pétons littéralement une pile. Il se retient plusieurs jours, puis peut avoir des fuites jusqu'à 8 fois par jours et même durant son sommeil. Lorsque l'on arrive à ce stade et que l'on commence à s'inquiéter pour sa santé, on utilise le chantage ou la récompense pour qu'il se vide et se soulage. Cela marche à chaque fois. Nous ne faisons cela qu'en dernier recours car au début nous avons ps mal utiliser la récompense et ça marchait un temps mais jamais sur la durée. Bref cette situation n'a que trop duré et lorsque je vois sur le forum que certains enfants ont encore le même problème a 14 ans, je m'inquiète sincèrement pour lui. Nous avons vraiment besoin d'aide, de trouver un professionnel qui comprenne vraiment ce problème et nous aide à l'accompagner. Merci de votre lecture. Julie
Mon fils bientôt 8 ans ne cesse de faire caca dans son slip, je pense pour lui que c'est comme une perte de temps.alors il se retiens je pense et hop fuite traces dans le slip ce n'est pas un caca comme plus petit ce sont de bonnes traces cela ne le dérange pas il cache ces slips parce qu'il sait bien que c'est mal et pourtant il continu car il est très actif il a toujours besoin de jouer et pense qu'à jouer il mets des figurines partout dans la salle de bain , ou wc pour pouvoir jouer dès qu il peut voir même à l'ecole il les cache dans ces vêtements ou bien ailleurs. J'ai beau lui dire de prendre le temps de faire caca d'y allé dès qu'il a besoin etc sans résultat, il y a eu aussi des punitions, voir du relachement de notre part on s'est plus quoi faire il a stoppé le pipi au lit la nuit à 6 ans avec quelques fuites de temps en temps mais j'en peu plus je suis à bout.
Je ne suis pas séparée pour préciser, il a été à l'ecole très tôt 2,5 ans donc apprentissage de la propreté la journée c'etait plutôt satisfaisant. Il refuse de se plier aux consignes que ce soit à l'école ou à la maison malgré les conséquences donc il fait ce que bon lui semble sans demander. Il parle sans cesse quasiment non stop ormis devant un dessin animé il a ce besoin permanent de vouloir l'attention de tous.
Aidé moi à y voir plus clair.....
Avez vous des adresses de structures de soin qui reçoivent les enfants encoprétique en séjour hospitalier ? je suis de l'Oise. Merci beaucoup.